“La Turquie adopte une posture de plus en plus hostile aux pays occidentaux. Son activisme en Méditerranée orientale et en Libye en est l’illustration. L’agressivité d’Ankara ne doit toutefois pas être sur-interprétée. La Turquie émerge depuis quelques années comme une puissance moyenne en quête de reconnaissance qui souhaite diversifier ses partenariats. Elle n’a en revanche pas intérêt à se lancer dans une confrontation ouverte avec l’Occident. Elle n’en aurait d’ailleurs pas les moyens.”